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Les Foliolules

Agroécologie expérimentale

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Notre gamme de plantes est centrée sur des essences pionnières, et donc robustes, adaptées aux sols pauvres et au manque d’eau. En ce sens, elles sont indiquées dans la végétalisation de terrains abîmés à revitaliser.

 

Les plantes fixatrices d’azote entretiennent des relations symbiotiques avec des bactéries et des champignons, mais aussi un milieu particulièrement favorable au microbiote non-symbiotique, et de là, à l’ensemble du vivant.

 

Le processus de fixation d’azote, à travers ses enzymes, rejette dans son environnement des ions hydrogènes, participant à la réduction chimique de ce milieu, et limite ainsi encore l’oxydation. 

En outre, et pour ne rien gâcher, elles sont remarquablement belles et ornementales par leur floraison, certaines sont fruitières, ou encore produisent un bois d’oeuvre estimé. Nous cultivons également des essences fruitières plus classiques (pommiers, poiriers, abricotiers, pêchers, etc…), souhaitons produire des fruitiers adaptés au changement climatique, et proposerons bientôt un certain nombre de semences couvre-sol, légumineuses ou graminées de la strate herbacée, afin d’élargir notre offre aux différentes strates issues de la succession écologique.

Notre objectif est d’approvisionner particuliers, citadins et agriculteurs en arbres et arbustes, mais aussi en connaissances, afin que le plus grand nombre puisse participer à la transition agro-écologique, à la lutte contre le réchauffement, aux cycles de l’eau, et à encourager la biodiversité tout en jouissant des multiples services que les plantes nous rendent. Nous avons pour ambition de participer autant que possible à la recherche scientifique dans le domaine.

Les sols se délitent, ils s’érodent vingt fois plus vite que la normale. On estime la perte des sols français pour causes hydriques, c’est-à-dire par ruissellement et manque de structure des sols, à 1,5 tonnes par hectare et par an. Ce qui est considéré comme irréversible sur des périodes de 50 à 100 ans.

Le sol est la matrice du vivant. Il contient la plus grande masse animale, un quart de la biodiversité, et sert de base à la chaîne alimentaire. C’est sa fertilité et sa santé qui conditionnent notre existence. La très faible teneur en matière organique et la déstructuration dues aux techniques systématiques de labour, de traitement chimique et de fertilisation artificielle provoquent son érosion, déséquilibrent, assèchent et affament ce milieu biologique primordial. 

Il est urgent d’orienter l’agriculture vers une voie respectueuse du vivant, qui nous amène à travailler avec la microbiologie, en lui préservant le gîte et le couvert, sous peine d’assister à notre propre disparition.  

 

L’arbre nourrit, protège et soigne son milieu. 

Par leur production de matière organique et d’exsudats racinaires issus de la photosynthèse, les plantes entretiennent la vie du sol et le protègent par leur ombre de l’intensité des rayons solaires. Elles le structurent et y rendent la vie possible.

                                                                             

Les plantes maîtrisent tout un tas de techniques qui leur permettent de conserver, de condenser, de recycler et d’absorber dans l’air l’eau dont elles ont besoin.

L'évaporation marine est jusqu’à sept fois relayée par les arbres, pour que la pluie puisse parvenir au centre des terres.

Les racines des arbres, par leur exploration du sol, font jaillir les sources ; et la photosynthèse, tout en consommant des molécules d’eau, en fabrique de nouvelles, transforme le carbone aérien et climatise l’environnement.

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